Nadège Abadie, ancienne étudiante du Master Photographie (promotion 2012), cinéaste, photographe et également enseignante à l’ENS Louis-Lumière vient de sortir aux éditions Flammarion Tout ce que je leur dois.

Présentation :

Tout ce que je leur doisDe quoi est faite la vie des femmes ?
De non-dits, de récits murmurés, d’histoires qui ne se racontent pas : les journées interminables, le soin porté aux autres, les nuits d’amour et celles d’angoisse. Pour déchirer ces silences, Nadège Abadie est partie à la rencontre d’une centaine de femmes nées au début du XXᵉ siècle. Ensemble, elles nous rappellent que c’est dans le quotidien que se joue l’essentiel, que c’est dans leurs épreuves ordinaires qu’ont émergé nos droits : notre liberté de voter, de travailler, de se vêtir comme on le désire, d’accueillir un enfant ou pas, d’aimer qui l’on choisit, de s’affranchir.
Chaque chapitre est un lieu habité par ces femmes, où se sont cristallisés le drôle et le tragique de l’existence, son bonheur et son horreur. Suzanne s’est tirée dans le ventre avec une carabine pour échapper à une grossesse ; Monique se souvient des insultes qu’elle a reçues en proposant une loi qui criminalise le viol ; Mireille voyage seule depuis qu’elle a osé demander le divorce.
Avec poésie, elles parlent des choses communes, de ce qui est, de ce que nous sommes, de ce qu’on leur doit.

(Source éditions Flammarion).

Plus d’informations ici.

et

Stéphanie Solinas, ancienne étudiante du Master Photographie (promotion 2001) vient de sortir Le soleil ni la mort aux éditions Delpire & Co.

Présentation :

le soleil ni la mort

Peut-on éviter la mort ? Comment dépasser notre finitude ? Dans Le soleil ni la mort, Stéphanie Solinas interroge cette possibilité du point de vue de la cryogénisation, procédé scientifique, et des croyances qu’elle porte en elle.
Cet ouvrage, dont le titre est inspiré de la maxime de François de La Rochefoucauld, « Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement », se déploie sur un terrain futuriste, à la fois géographique et spirituel. L’artiste questionne notre quête d’immortalité à travers un dispositif croisant une expérience visuelle qu’elle a vécue lors d’un vol en avion avec sa rencontre avec les dirigeants de la société de cryogénisation Alcor, basée en périphérie de Phoenix, aux États-Unis.

Retrouvez plus d’informations, images et vidéos sur le site de l’éditeur.

Certaines des photographies avaient été exposées par ailleurs au Jeu de Paume à l’occasion du Festival d’art contemporain Fata Morgana. Infos complémentaires ici.