Admin-ens

Lundi 27 novembre – 14h à 16h – Jason BOUSSIOUX

Titre : Les lumières colorées, les enjeux narratifs, esthétiques et techniques d’un éclairage « néon » au cinéma.
Titre de la PPM : « Rouge »
Direction interne : Giusy Pisano & Jean-Marc Fabre
Direction externe : Nicolas Pleskof
Examinateur : David Grinberg

Jeudi 30 novembre – 9h à 11h – Inès CLIVIO

Titre : « Aimer des films qui ne m’aiment pas ». Relecture féministe de l’histoire de la cinéphilie française pour repenser son regard critique et sa pratique de cinéma.
Titre de la PPM : « Foutu Cormoran »
Direction interne : Michel Marx
Direction externe : Héloïse Pelloquet
Examinateur : Charlotte Wensierski

Jeudi 30 novembre – 11h à 13h – Élisabeth JOLLY

Titre : Qui se souvient dans « Sans Soleil » ? Étude narratologique de l’énonciation de « Sans Soleil » (Chris Marker, 1983) et identification du rôle de la subjectivité du spectateur au sein du récit.
Titre de la PPM : « Trahison d’un homme déguisé »

Direction interne : Michel Marx
Direction externe : Emmanuel Gras
Examinateur : David Faroult

Jeudi 30 novembre – 14h à 16h – Luca MÖSSNER

Titre : La catastrophe : possibilité du récit comme ouverture sur le monde (Des Pallières, Benjamin et Heidegger à Disneyland)

Titre de la PPM : « Et les vaches seront bien gardées »

Direction interne : Michel Marx
Direction externe : Emmanuel Gras
Examinateur : Claire Bras

Image extraite de la PPM de Max Decamps

 

 

Mardi 27 juin – 13H30 à 15h30 – Max DECAMPS

Titre : Comprendre le flou optique. A la recherche d’une meilleure maîtrise du flou au profit de l’image cinématographique.
Titre de la PPM : L’immatériel Danse.
Direction interne : Pascal Martin
Direction externe : Martin Roux
Examinateur : Patrick Duroux

 

Mardi 27 juin – 15h30 à 17h30 – Antoine AMEN

Titre : Techniques et effets de l’image composite dans les arts visuels.
Titre de la PPM : Innangelo
Direction interne : Giusy Pisano
Direction externe : Bruno Aveillan
Examinateur : Jean-Marc Fabre

Chaque année, les étudiantes et étudiants du master Photographie produisent un mémoire de fin d’études et une Partie Pratique de Mémoire (PPM), sous des formes multiples (installations, expositions…).

Mercredi 21 Juin

• 9h – 10h : Clément BERNARD-GUILLERMINET

Titre du mémoire : Les logiciels libres et open source et le secteur de la photographie : Jusqu’où les utiliser ? Quelles opportunités ?

Direction interne et codirection externe : Véronique FIGINI, Sophie JEHEL

Membres du Jury : Franck MAINDON, Laurent STEHLIN

• 11h – 12h : Elisa BAPST

Titre du mémoire : Photographie contemporaine et habitat moderne; Comment les photographes documentaires expriment-ils une approche critique sur l’évolution de l’environnement urbain ?

Direction interne et codirection externe : Christophe CAUDROY

Membres du Jury : Claire BRAS

• 14h – 15h : Antoine BERTRON

Titre du mémoire : Pratiques contemporaine de la camera-laboratoire ; Entre création artisanale et acte social.

Direction interne et codirection externe : Véronique FIGINI

Membres du Jury : Claire BRAS, Fabien HAMM, Ilsen ABOUT

Jeudi 22 Juin

• 9h – 10h : Jean-Baptiste SALAÜN

Titre du mémoire : De la vue zénithale au relief matriciel : une transcription du relief par un dispositif aérophotographique primitif et l’héliogravure à plat.

Direction interne et codirection externe : Anne-Lou BUZOT

Membres du Jury : Guillaume GUILPART

• 10h – 11h : Antonia LE PAIH

Titre du mémoire : La photographie à l’épreuve de l’immersion. Réflexion scénographique sur l’image projetée.

Direction interne et codirection externe : Véronique FIGINI

Membres du Jury : Claire BRAS, Angèle FERRERE, Arno GISINGER

• 11h15 – 12h15 : Corinna KRANIG

​​​​​​​

Titre du mémoire : Faire face : Approches photographiques d’un héritage familial du national-socialisme.

Direction interne et codirection externe : Véronique FIGINI, Arno GISINGER

Membres du Jury : Christine DELORY-MOMBERGER, Florian EBNER, Arno GISINGER

• 14h30 – 15h30 : Alizée GOUSSET

​​​​​​​

Titre du mémoire : La Photographie et design. Exploration d’un champ de création commun entre lumière et matière.

Direction interne et codirection externe : Claire BRAS

Membres du Jury : Eve GEORGE

• 15h45 – 16h45 : Matéo PICARD

​​​​​​​

Titre du mémoire : « Utopia Gallery ». Le corps utopique dans l’installation artistique

Direction interne et codirection externe : Claire BRAS

Membres du Jury : Georges GAGNERE

Vendredi 23 Juin

• 11h45 – 12h45 : Emma CASTAÑO

​​​​​​​

Titre du mémoire : Un regard sur l’oubli. Les formes de valorisation des photographies d’anonymes et d’inconnus.

Direction interne et codirection externe : Franck MAINDON

Membres du Jury : Emmanuelle FRUCTUS

A noter que Véronique FIGINI et Pascal MARTIN sont membres de l’ensemble des jurys présidés par Pascal MARTIN.

GLASS

Alizée Gousset & Aliénor Mathieu

Au départ, un questionnement commun : comment intégrer la photographie au processus de création en design, et comment trouver un champ de création rassemblant nos deux pratiques ? C’est à ces questions que propose de répondre cette installation. GLASS est un claustra né de notre collaboration, intégrant la photographie au processus créatif et au cadre lui-même en tant « qu’image-matériau ». Il joue sur la transparence et les reflets de l’image, offrant une fluidité nouvelle au verre.

GLASS donne à voir sur sa surface et au-delà, il propose une intégration dans l’espace dans un jeu de lumière et matière, et met sur un pied d’égalité design et photographie, aussi bien dans son aspect symbolique que son application pratique.

MONT TRÉLOD (2 181 M) — ALPES

Josselin Apertet

Découvrir la cime d’une montagne au milieu des nuages. Avoir son objectif en vue, le photographier. La trace de notre passage. Une photographie de sommet, cet objet qui aurait pu changer l’histoire de l’alpinisme si l’appareil photographique de George Mallory avait été retrouvé. Une image qui aurait pu montrer une trace de la première ascension du mont Everest par la face nord, 29 ans avant qu’Edmund Hillary et Tenzing Norgay marchent sur le toit du
monde pour la première fois.

Deux mosaïques de 38 tirages chacune. L’une respectant le protocole de répétabilité mis en place durant mon mémoire et la seconde explorant les variations du kallitype.

BICYCLOPHOTOTROC

Un projet mené par Antoine Bertron

BICYCLOPHOTOTROC est un projet au long cours qui repose sur l’itinérance à vélo, la photographie et le troc. Il s’est développé les deux dernières années lors de voyages d’été en bord de Loire et se poursuit encore aujourd’hui. L’objectif est de troquer un objet (de préférence artisanal) contre un portrait argentique noir et blanc réalisé à l’aide d’une camera-laboratoire. Cet appareil conçu pour l’occasion combine système de prise de vue et laboratoire argentique, permettant de produire un tirage en une quinzaine de minutes.

Au fil des rencontres, deux collections sont constituées, une de portraits, l’autre d’objets artisanaux troqués. Elles sont présentées ici à travers deux éditions et un module d’exposition nomade.

PARTOUT OÙ IL N’Y A RIEN…

Emma Castaño

« Et puis on se dit qu’on laisse des traces, elles ne sont pas parfaites mais elles sont nous. »

Une trace. La définition est la suivante : « Empreinte ou suite d’empreintes, de marques, que laisse le passage d’un être ou d’un objet ».

Dans cette nomenclature il y a deux éléments clefs : le passé et l’empreinte. C’est un vestige qui prend notre forme. Dans ces moments-là le temps se dilate et se superpose. Il se fige comme lorsque l’on prend une photographie. La trace laissée est soudainement tangible. PARTOUT OÙ IL N’Y A RIEN revient sur les traces d’Arielle Piednoël, photographe inconnue des années 80. Il s’avère aussi qu’Arielle n’est autre que ma mère. Cette exposition raconte alors tous types de traces.

MALCAIL

Clément Bernard-Guillerminet

Cette installation explore la question des données personnelles, élargissant la réflexion d’un mémoire sur leur utilisation professionnelle pour se concentrer sur l’individu lambda.

Vous êtes immergé.e dans l’existence virtuelle d’un citoyen lambda, et confronté.e à la réalité de cette victime potentielle. Chaque élément de sa vie numérique partagé augmente son exposition aux risques, y compris l’accès frauduleux à ses comptes et l’usurpation d’identité. L’exposition invite à questionner l’usage d’internet et à envisager une utilisation plus consciente et sécurisée des données.

ICI, LE CIEL EST BLEU

Elisa Bapst

Construite entre 1959 et 1972, la cité du Wiesberg est un ensemble dessiné par l’architecte Emile Aillaud à Forbach, en Moselle. Aujourd’hui labellisée « Patrimoine du XX^e siècle », elle concentre néanmoins de nombreux échecs, principalement sociaux et largement induits par la désindustrialisation du bassin houiller Lorrain. Ces ruines d’un passé proche sont sujets au Programme National de Rénovation Urbaine, que beaucoup d’habitants contestent.

Avec l’objet éditorial, je propose une façon de représenter la relation entre le logement et ses habitants au travers d’images « muettes », tout en rendant compte du caractère fragile d’une vision architecturale moderne des années 60.

J’AIMERAIS ME LOVER DANS LE CREUX DU MONDE

Pierrick Guillou

Cette installation est constituée d’un ensemble de vêtements qui ont été photosensibilisés au avant d’être portés et exposés à la lumière du jour. Chaque pièce présente la trace de la mémoire corporelle d’un instant passé, vécu à même la peau, sans médiation par le regard.

Ce dispositif artisanal permet la saisie d’états du corps dans des moments essentiels de l’existence : des instants de tendresse, de repos, de traversée de milieux captivant les sens. Sur une pièce, le regard retrouve la trace d’un corps embrassé, sur l’autre, une ceinture délaissée le temps d’une baignade.

Ce procédé d’impression photographique devient alors le tissu mémoriel et corporel d’une expérience vécue.

UTOPIA GALLERY n° 2

Matéo Picard

Utopia Gallery est un espace d’expérimentation évolutif. Chaque itération propose une expérience utopique globale qui interroge l’interaction sujet<>image.

Programmation et automatisation image : Tristan Charpentier, Louis Genieys

Design sonore et réalisation technique : Yann Brecy
Conseils techniques : Fabrice Loussert, Laurent Stehlin, Franck Jouanny

Accompagnement :Stéphanie Solinas

PRADA SS53

Rida Choubai

En 2023, 100 milliards de vêtements ont été vendus dans le monde par l’industrie de la mode. L’équivalent d’un camion benne de vêtements est détruit chaque seconde à l’échelle planétaire. 30 ans plus tard, Prada présente sa collection printemps-été – SS53.

Dans un futur post-apocalyptique, conçu par l’auteur et halluciné par l’intelligence artificielle, les images mélangent l’absurde au vraisemblable pour questionner le paradoxe du business as usual qui régit notre époque. Entre reportage, édito, et campagne publicitaire, s’emparer des codes et des stéréotypes de la photographie de mode devient la manière la plus efficace de légitimer des images déroutantes, d’une véracité évasive.

Entre réalité et fiction, Prada SS53 explore la frontière nébuleuse entre vrai et faux dans l’univers de la mode, et la place de l’intelligence artificielle dans la création.

ROCHE LATENTE

Un projet d’Antonia Le Paih, aidé par Venance Joffrion et Morgan Rouchausse

Le lieu de la grotte incarne un ensemble d’imaginaires qui ont traversé les époques. Artistes et photographes s’en sont emparés comme lieu d’expérimentation de leur médium1. Déjà en 1877, Louis et Auguste Lumière s’essayent à leurs premiers procédés de développement photographique couleur à l’intérieur d’une caverne située en bord de mer. Surnommée la Goule aux Fées, celle-ci devient un symbole de l’évolution de la photographie.

À travers la projection comme outil scénographique, cette installation multimédia propose de vivre une expérience immersive à l’intérieur de la Goule. Elle puise dans la représentation de la grotte, lieu d’origine des images, pour envisager la photographie dans un rapport direct avec le spectateur.

Dans cette tradition expérimentale du médium, le visiteur est invité à déambuler à l’intérieur comme à l’extérieur des images. Entre flux et reflux, il « habite » alors la photographie.

FAIRE FACE

Corinna Kranig

Lorsque ma famille trie l’héritage de mon grand-père décédé, elle remarque que beaucoup d’affaires personnelles ont disparu. Des photographies, des lettres intimes et d’autres documents lui appartenant sont devenus introuvables et ont probablement été jetés peu avant sa mort.

Parmi ces pertes, subsiste cependant une collection de jouets réunissant plusieurs centaines d’objets de guerre en miniature. Aux côtés de chars, de navires, d’avions et autres figurines, elle expose explicitement des symboles du national-socialisme.

L´existence de ce legs soulève des questions sur le passé familial, l’absence de transmission du souvenir et ma propre position face à cette histoire. Dans la confrontation de cet héritage, la photographie devient alors mon outil pour mieux comprendre.

EUS ROC’H HA LUDU, DE ROCHE ET DE CENDRE

Jean-Baptiste Salaün

Suite à un incendie criminel durant l’été 2022, la cendre résiduelle se substitue à la végétation des Monts d’Arrée, en Bretagne. Les roches anciennement ensevelies sous les landes se retrouvent à nu, nettoyées par la puissance du feu et de la pluie. Presque invisibles depuis le sol, il est nécessaire d’élever son point de vue pour lire ce paysage métamorphosé. Au gré du vent, mon cerf-volant photographique survole ces stigmates comme des souvenirs oubliés qu’il faut rassembler et reconstruire. Sous le feu, le paysage s’use et au gré de mes impressions photomécaniques, le relief de la matrice s’estompe sur le papier moulé.

Les étudiantes et étudiants du master SON doivent produire pour obtenir leur diplôme un mémoire de fin d’études ainsi qu’une Partie Pratique de Mémoire (PPM).

Mardi 5 décembre :

9h15 : Louis GENIEYS

Titre de mémoire : Traitement du signal audionumérique en modulation sigma-delta : application
à la compression dynamique

Examinateur : Laurent Millot

Direction : Mohammed Elliq / Paul Payen de la Garanderie

 

11h15 : Dorian VERNET

Titre de mémoire : Exploration de la surcharge sensorielle en milieu urbain : étude expérimentale de l’influence du paysage sonore sur la perception tactile et auditive.

Examinateur : Frank Gillardeaux

Direction : Nicolas Montgermont / Isabelle Viaud-Delmon

 

14h30 : Philippine HURY

Titre de mémoire : La spatialisation en sonorisation : approche du mixage en 2023

Examinateur : Sylvain Lambinet

Direction : Frank Gillardeaux / Emmanuelle Corbeau

 

16h30 : Félix TIMSIT

Titre de mémoire : Le réalisme sonore au cinéma : l’influence du dispositif

Examinateur : Eric Urbain

Direction : Sylvain Lambinet

 

___

Mardi 27 juin :

9h15 : Florent GOETGHELUCK

Titre de mémoire : Le son d’en haut – Pertinence et perspectives de l’élévation dans le mixage musical spatialisé

Examinateur : Pascal Spitz

Direction : Mireille Faure

11h : Martin ANTIPHON

Titre de mémoire : Création d’un synthétiseur en audio 3D

Examinateur : Alan Blum

Direction : Sylvain Lambinet & Olivier Warusfel

14h : Samuel ROBINEAU

Titre de mémoire : Faire exister la figure de la chimère à travers l’hybridation sonore humain – animal

Examinateur : Théo Serror

Direction : Pascal Spitz & Nicolas Obin

15h45 : Esteban SERNA-FLUTTAZ

Titre de mémoire : Etude comparative de l’utilisation de la compression multibande avec la compression pleine bande – Le cas de la voix « lead » en mixage de musique actuelle

Examinateur : Laurent Millot

Direction : Pascal Spitz & Jean-Baptiste Bruhnes

Mercredi 28 juin :

9h15 : Xingyu LIU

Titre de mémoire : La perception de l’effet de filtre en peigne sur le pipa, en fonction de quatre jeux musicaux

Examinateur : Michel Marx

Direction : Mireille Faure

11h : Pierre-Yves COLLARD

Titre de mémoire : Production musicale orientée objet : enjeux d’écriture et mixage pour l’écoute au casque

Examinateur : Mireille Faure

Direction : Alan Blum & Martin Antiphon

14h : Thibaud CARCY

Titre de mémoire : Caractériser l’immersion sonore cinématographique : application au cas des ambiances multicanales

Examinateur : Alan Blum

Direction : Sylvain Lambinet & Cyril Holtz

15h45 : Sreesti SHEIKH

Titre de mémoire : L’intégration de la post-synchronisation – Les pratiques actuelles

Examinateur : Sylvain Lambinet

Direction : Alan Blum & Cyril Holtz

Jeudi 29 juin :

15h45 : Nelly BOUSSELLIER

Titre de mémoire : Evolution du montage paroles

Examinateur : Véronique Lorin

Direction : Sylvain Lambinet & Laure-Anne Darras

Vendredi 30 juin :

9h15 : Guillaume BENSAOU

Titre de mémoire : Transcription des procédés sonores de la bande dessinée francophone vers le cinéma

Examinateur : Eric Urbain

Direction : Jean Rouchouse

11h : Guénolé LOTERIE

Titre de mémoire : « Play by sound » : concevoir le son qui vous fera mieux jouer – Sound design et performance dans les jeux de tir compétitifs à la première personne

Examinateur : Jean Rouchouse

Direction : Eric Urbain & Tifanie Bouchara

14h30 : Camille TIRARD

Titre de mémoire : Acoustémologie des artisan.e.s de Guédelon

Examinateur : Pascal Spitz

Direction : Jean Rouchouse & Mylène Pardoën

16h15 : Yann BRECY

Titre de mémoire : Le feedback comme procédé artistique sonore dans la création contemporaine

Examinateur : Jean Rouchouse

Direction : Alan Blum, Nicolas Montgermont & Philippe Langlois

 

© Valentin Socha – Photo extraite du mémoire et de la PPM de Yann Brecy

Présentation :

Durant la crise sanitaire de 2020, au moment du 1^er confinement, l’ENS Louis-Lumière s’est efforcée avec son équipe pédagogique et ses partenaires de maintenir le lien entre les étudiants et les professionnels des industries créatives.

A cette occasion, une initiative a été mise en place prenant la forme de rencontres en visio avec des professionnels, les « rencontres semi-confinées » en partenariat avec l’AFC. Des ces échanges foisonnants et précieux est venue l’idée d’en tirer un ouvrage d’entretiens.

Crée par les Éditions de l’œil, sous la direction de Caroline Champetier et de Giusy Pisano et avec le soutien de l’ENS Louis-Lumière, de l’AFC, du Centre national du cinéma et de l’image animée, avec le concours de l’EURArTec, de la Fémis et de la CinéFabrique, « La fabrication de l’image au cinéma » est une synthèse de ces rencontres. A travers les entretiens réalisés, les professionnels, directrice et directeurs de la photographie ou cinéastes, viennent questionner leur rapport à l’image et à la création.

Parmi les intervenants :

Céline Bozon, Sébastien Buchmann, Caroline Champetier, Rémy Chevrin, Benoît Delhomme, Jean Marie Dreujou, Agnès Godard, Éric Guichard, Julien Hirsch, Romain Lacourbas, Philip Lozano, Hélène Louvart, Claire Mathon, Gilles Porte, Julien Poupard, Jonathan Ricquebourg, Frédéric Savoir, Myriam Vinocour, qui ont entre autre travaillé avec Maud Alpi, Jean-Jacques Annaud, Xavier Beauvois, Patrick-Mario Bernard et Pierre Trividic, Stéphane Batut, Claire Denis, Mati Diop, Marc Dugain, Jean-Luc Godard, Alain Guiraudie, Mikhaël Hers, Eliza Hittman, Christophe Honoré, Claude Lanzman, Ladj Ly, Jean-Bernard Marlin, Nicolas Pariser, Jacques Perrin, Alice Rohrwacher, Colombe Savignac et Pascal Ralite, Céline Sciamma, Julian Schnabel… évoquent leur métier et leur approche du cinéma.

Sommaire : 6 chapitres

1. L’œil de la caméra.
2. Le point de vue : diriger le regard sur un plan.
3. Raconter par la lumière.
4. Colorer l’image.
5. L’image pensée de/par les décors.
6. La relation avec les cinéastes.

La presse en parle :

Un très bel article paru dans la revue ArtPress, numéro 514, rubrique Sublimer les mots, page 12, par Fabrice Lauterjung :

« La Fabrication de l’image au cinéma, paru, là encore, aux Editions de l’oeil (384p, 35 euros) – dont il est désormais indispensable à tout amoureux du 7è art de guetter scrupuleusement chaque nouvelle publication -, nous permet d’en apprendre davantage sur un métier réclamant de sérieuses compétences techniques, autant qu’une part non négligeable d’inventivité, d’imagination, de culture et même, assez souvent, de bricolage : directeur de la photographie, aussi connu sous le nom de DOP (Director of Photography). » « Sans rien retirer au rôle déterminant des cinéastes, les intervenants insistent sur l’importance d’une collaboration (et, bien souvent, de négociations) incluant la plupart des savoir-faire requis à l’édification d’un film. » « Chaque intervenant expose son parcours, des premières années de formation aux rencontres professionnelles. Chaque rencontre, chaque projet implique la découverte d’un nouvel univers auquel il faudra s’adapter et répondre par les bonnes solutions. Et parce que le cinéma ne se fait pas ex nihilo, l’histoire des arts et, particulièrement, celle de la peinture, est convoquée ». Retrouvez l’entièreté de la chronique dans la revue. Site internet ici.

 

Publié aux éditions de l’œil, « La fabrication de l’image au cinéma » est ouvrage de référence auquel l’ENS Louis-Lumière est fière d’avoir collaboré.

Retour sur la participation au Festival du Film Subversif de Metz :

Hugo Margaron (Ciné, 2024) a participé en 2023 au Festival et a pris le temps de restituer son passage :

« Load. Unload.

Chargé dans le TGV, se recharger à Metz, regarder ailleurs.

Un endroit où l’on peut voir des films qu’on pourrait rarement voir ailleurs.

Cette possibilité d’ailleurs je l’ai eu grâce à ma participation au Jury Jeune du Festival du Film Subversif de Metz, qui s’est tenu du 9 au 11 juin dernier. Aussitôt arrivé à Metz, cela a été l’occasion de rencontrer l’ensemble du jury (7 jeunes entre 19 et 25 ans), avec qui j’ai pu discuter, défendre ou pas les différents films présentés en compétition. Avec une rigueur assez inouïe, nous avons pris très au sérieux cette « élection » d’un film où chacun-e a pu donner son avis. Nous voulions récompenser un film qui nous ressemble, malgré – ou plutôt au travers – de nos singularités.

Parmi les quatre courts-métrages sélectionnés et tous extrêmement variés, nous avons choisi d’attribuer le prix à « La Fée des Roberts » ; un court-métrage d’animation délirant et burlesque sur l’obstination d’une petite fille à avoir d’énorme seins… grâce à une fée. À la fois hallucinant visuellement et grinçant, la caricature nous met face à nos propres contradictions.

Le prix du jury jeune pour le long métrage a été remis au film québécois « On dirait la planète Mars » de Stéphane Lafleur. Dans ce dernier, sous prétexte d’expérimentation spatiale, les « matchs parfaits » d’astronautes se retrouvent enfermés dans une base au milieu du désert, pour mieux comprendre et anticiper les réactions de l’équipe en orbite. Avec sa mise en scène subtile et efficace, il porte un regard plein d’humanité sur l’absurdité de notre monde de notations, de « feedbacks », de cobayes en tous genres.

Deux mentions ont été attribuées : pour le film britannique « Enys Men », pour sa qualité hypnotique plastique et son interprétation, et « Give me Pity ! » (également Grand Prix du festival) pour sa radicalité et sa croyance kitch.

La qualité du festival tient aussi dans ses contrepoints, malgré la courte durée de l’événement : courts-métrages hors-compétition, films cultes en rétrospective. Parmi ces derniers, « Phantom of the Paradise » de Brian de Palma a ouvert cette 8^e édition avec toute sa splendeur baroque. On peut mesurer ainsi la puissance subversive d’une mise en scène radicale sur un scénario haut en couleurs et glamrock.

Mais surtout, revoir « Virgin Suicides » dans une toute nouvelle copie remasterisée 4K (première française) vous submerge de plaisir, par sa douceur acidulée. La mise en scène de Sofia Coppola bourgeonne dans chaque mouvement de caméra, lançant un peu plus la poésie de ces instantanés adolescents. La toujours-juste photographie d’Ed Lachman pose des ambiances lumineuses riches, où la douceur verte des intérieurs contamine les peaux rosées, où les textures feutrées finissent par faire étouffer (littéralement) les personnages. Les panoramiques qui planent sur les corps alanguis, le montage et la musique inoubliable de Air vous restent en tête bien après le retour à Paris.

Le plein d’images.

Load. Unload.

Merci à Charlotte Wensierski pour l’invitation, à Charlotte Bénard et à toute l’équipe pour l’accueil si chaleureux ! »

Rappel – Le partenariat ENS Louis-Lumière et Festival du Film Subversif de Metz

Toujours motivé à l’idée de mettre en lumière des ovnis «fragiles» et de défendre l’importance d’un cinéma «physique», le festival du Film Subversif de Metz concentre avec générosité sur trois jours une vingtaine de séances mêlant jeune cinéma et films cultes.

Comme l’an passé, des étudiantes et étudiants de l’ENS Louis-Lumière des master Cinéma, et Photographie ont été conviés à participer au festival sur différents aspects.

Hugo Margaron (Ciné, 2024) participe au Jury Jeune pour la compétition longs et courts métrages.

Elie Cottin (Ciné, 2022) vient présenter son film de Fin d’Etudes Dérives (Hors Compétition), le dimanche 11 juin à 15h.

Charlotte Heulland et Caroline Sénécal (Photo 2024 et 2020) viennent en tant que photographes durant le Festival.

Retrouvez toutes les informations sur le Festival sur leur site internet.

Anne Leroy (Photo, 2008) présente ses travaux lors d’une exposition intitulée On voudrait pas se faire manger, autour de trois dispositifs artistiques qui résultent d’une enquête au long cours dans une région agricole de l’Est de la France :

• une série de portraits photographiques
• une installation sonore, réalisée en collaboration avec Mélia Roger (Son, 2019)
• et un film Comme une ferme.

L’exposition a lieu à l’espace Main d’Oeuvre, 1 rue Charles Garnier, 93400 Saint-Ouen.

Vernissage le jeudi 22 juin à 19h.

Exposition du 22 au 24 juin de 10h à 19h. Entrée libre.

Première formation courte de l’ENS Louis-Lumière à l’étranger

En partenariat avec le Greek Film Center, l’association des producteurs grecs PACT et l’institut français d’Athènes, l’ENS Louis-Lumière a lancé la première d’une série de formations courtes à l’international visant à initier et à former de jeunes professionnels aux métiers techniques du cinéma dans des pays en déficit de techniciennes et techniciens. Lors de cette première édition, qui s’est tenue en janvier 2023 à Athènes, 10 personnes ont été formées aux bases du métier de machiniste, sous la direction d’un chef opérateur et de deux machinistes, anciens de l’ENS Louis-Lumière.

Rencontre entre l’ENS Louis-Lumière et National Taiwan University of Arts (NTUA)

Dans le cadre d’un nouveau partenariat autour du son ambisonique avec la National Taiwan University of Arts et le bureau français à Taipei, l’ENS Louis-Lumière a reçu pendant une semaine la visite d’une délégation d’étudiantes et étudiants. Ils ont été accueillis par le master Son de l’Ecole pour des journées d’écoute et d’échanges autour du son multi canal. Les étudiantes et étudiants ont été invités en fin de semaine par le festival NewImages pour une journée de rencontres.

Le samedi 3 juin, à la suite de cette première semaine d’échanges, les étudiantes et étudiants des deux écoles, principalement issues des formations Son, participeront à une rencontre en ligne, ouverte au public, autour du son ambisonique.

A cette occasion plusieurs travaux seront diffusés:

Le Mauvais Vitrier, création radiophonique de Yann Brecy et Samuel Robineau (Son, 2024), une production de l’ENS Louis-Lumière, ainsi que deux productions musicales de l’IRCAM : Wam, composé par Pasquale Corrado et interprété par Swann Texier, et Kogarashi, le premier soupir des fantômes, composé par Jérôme Combier et interprété par Pascal Lepage.

 

Rencontre autour du travail de la photographe afghane Roya Heydari

L’ENS Louis-Lumière propose une rencontre avec la photographe afghane Roya Heydari autour de son travail, le 20 juin en partenariat avec le Master Photographie de l’ENS Louis-Lumière, le Programme PAUSE et l’Université Paris Lumière. L’ENS Louis-Lumière co-accueille depuis septembre 2021 cette photographe chercheuse en exil, bénéficiaire du programme PAUSE.

Participation au Festival Longueur d’Ondes

 

L’ENS Louis-Lumière invitée en février avec le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères au festival Longueur d’Ondes pour un retour sur les deux premières éditions du Programme international d’été du Documentaire sonore, en présence de deux anciens stagiaires israélien et marocain et de l’Institut français en Israël

 

 

Échange international

L’ENS Louis-Lumière et la Craig Newmark Graduate School of Journalism de la City University of New York (CUNY) ont, ensemble, remporté, en 2023, le Transatlantic Mobility Grant des Ambassades de France aux Etats-Unis et des Etats-Unis en France, pour financer un nouveau partenariat entre ces deux écoles autour du photojournalisme . Trois étudiant.es de chaque école ont été sélectionné.es pour participer au projet de shooting à Paris et à New York. L’ENS Louis-Lumière accueille du 25 juin au 6 juillet les étudiantes et étudiants de CUNY à Paris et du 17 juillet au 26 juillet, ce sont les étudiantes et étudiants de l’ENS Louis-Lumière qui iront à New-York pour la suite des prises de vue. Les projets seront ensuite exposés dans les deux villes par Dysturb, une agence créée par un ancien de l’Ecole, qui produit des campagnes mondiales, des expériences et du contenu conçus pour engager le public et avoir un impact sur la société.

 

3^ème édition du Programme International d’été du documentaire sonore

Pour la 3^ème année, en collaboration avec Radio France Internationale et avec le soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, l’ENS Louis-Lumière accueille du 7 juillet au 26 août les douze jeunes professionnel.les de cette formation internationale provenant de 11 pays différents (Afrique du Sud, Colombie, Grèce, Corée du Sud, Inde, Irak, Iran, Israël, Maroc, Nigeria et Russie).

Plus de détails ici : https://www.ens-louis-lumiere.fr/international/programme-international-dete-du-documentaire-sonore/

Soutien Ukraine

Depuis Septembre 2022, l’ENS Louis-Lumière a intégré des étudiantes et des étudiants dans le cursus initial de l’Ecole jusqu’à la fin de leur scolarité en juin 2024.

Partenariat avec l’Ecole des Gobelins :

Le master Son a renouvelé cette année son partenariat avec l’Ecole des Gobelins, spécialisée notamment les films d’animation.

Les étudiantes et étudiants de 1^er et 3^ème année ont collaboré ainsi sur les montages son et mixages pour les bandes annonces et les courts-métrages réalisés à l’Ecole des Gobelins et qui seront diffusé lors du Festival d’Annecy.

Partenariat avec l’université Paris 7 :

Dans le cadre d’un partenariat avec l’université Paris Diderot – Paris 7, des étudiantes et étudiants du master Son collaborent au montage son de cinq court-métrages documentaires réalisés par des élèves du master DEMC (Documentaire : Ecriture du Monde Contemporain).

Partenariat IRCAM :

L’Ecole renouvelle cette année le partenariat avec l’IRCAM (Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique) pour un Atelier de Captation de Musique Mixte (ACMM). Les étudiantes et étudiants du master Son assureront notamment la prise de son et le mixage du concert de l’atelier d’interprétation des musiques mixtes, dans le cadre de l’Académie ManiFeste 2023. L’objectif pédagogique est de permettre aux personnes de maîtriser les techniques de captation audio d’œuvres de musique mixte, de mixage avec une dimension importante de spatialisation sonore, et in fine de fournir trois formats de mix : stéréo, multicanal et binaural. Enfin, cela permet de rediffuser les pièces dans l’auditorium de l’ENS Louis-Lumière en multicanal.

Partenariat avec NTUA :

A l’occasion d’une rencontre internationale, les étudiantes et étudiants du master sont invité(e)s à échanger en ligne autour d’un évènement universitaire sur le son ambisonique organisé par des chercheurs et artistes sonores du NTUA (National Taiwan University of Arts). A cette occasion, la création radiophonique « Le Mauvais Vitrier » de Yann Brecy et Samuel Robineau (Son, 2024), une production de l’ENS Louis-Lumière adaptant le poème éponyme de Charles Baudelaire dans une fiction sonore réalisée en audio immersif, sera l’un des exemples diffusés et discutés.

La 4^ème édition du Parlement de la Photographie se tiendra les 8 et 9 juin 2023 avec pour thème « De nouveaux horizons pour la photographie ».

Rendez-vous annuel désormais incontournable grâce au département de la Photographie du ministère de la Culture – délégation aux arts visuels, Direction générale de la création artistique -, rare et précieux temps d’échange entre les acteurs de la photographie issus des secteurs patrimonial, de la création et du photojournalisme, le Parlement de la Photographie se déroulera au Palais de Tokyo à Paris.

Durant deux jours, différentes tables rondes et rencontres seront organisées dédiées au secteur et à ses enjeux, au cours desquels deux enseignantes du master photographie de l’ENS Louis-Lumière ainsi qu’un ancien étudiant participeront :

• Jeudi 8 juin :
  • Anne-Lou Buzot, responsable du laboratoire de l’ENS Louis-Lumière, spécialiste des procédés anthotypes et alternatifs, éditrice et photographe, interviendra dans le cadre de la table ronde « Photographie et écosophie » (11h40).
  • Fred Stucin, (Photo, 2002), photographe, sera l’invité d’Ann Stouvenel, Directrice du CNEAI, membre du conseil artistique de Finis terrae, Centre d’art insulaire et co-présidente d’Arts en résidence, autour du thème de « La résidence photographique, lieu de création et de production du commun » (14h).

• Vendredi 9 juin :
  • Véronique Figini, historienne de la photographie, maîtresse de conférences à l’ENS Louis-Lumière, représentera l’école dans le cadre de la table ronde « Quelles formations initiales pour les futurs professionnels de la photographie ? » (11h50) animée par la journaliste Brigitte Patient (France Culture). Son intervention s’appuiera sur la récente étude menée par la Direction des Études sur les parcours professionnels des anciennes et anciens élèves de l’ENS Louis-Lumière (promotions 2007 à 2021). Les résultats de l’enquête seront disponibles sur le site de l’école, à partir de début juin.

Retrouvez les présentations des intervenants et les informations sur le Parlement de la Photographie sur le site du Ministère.

En partenariat avec 9Lives, Le Quotidien de l’Art et The Eyes, l’événement sera enregistré et disponible sur le site du ministère de la Culture.

Dans le cadre du séminaire de recherche « Photographie et Histoire » animé par sa fondatrice Françoise Denoyelle (professeure émérite à l’ENS Louis-Lumière) et Véronique Figini (maîtresse de conférences à l’ENS Louis-Lumière et experte près la cour d’Appel de Paris), et en collaboration avec les Archives nationales, les deux dernières séances de l’année 2023 se dérouleront :

vendredi 26 mai 2023 au CARAN à Paris (salle Albâtre, 10h à 12h) avec deux communications :

• Claude MALÉCOT, Docteure et ancienne chef de projet aux éditions du Patrimoine/Monum : »Après le portrait-tournant, ou « portrait-séquence » (Caroline Chik), la photographie-feuilleton ou les scènes séquencées au service du théâtre, de Félix Nadar à Paul Nadar« 

• Alejandro ERBETTA, artiste-enseignant et chercheur, membre du Laboratoire 4010, Docteur en Esthétique, Science et Technologie des Arts, Université Paris 8. Directeur de RETINA, Argentine.

« Photographie et (re)construction d’histoires« 

Vendredi 2 juin à la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu à Paris, de 10h à 12h, avec la visite de l’exposition Degas en noir et blanc. Dessins, estampes, photographies (BnF Richelieu) sous la conduite de l’une des commissaires, Flora Triebel, conservatrice responsable de la photographie du XIX^e siècle.

L’accès au séminaire est soumis à autorisation et inscription préalable pour les visites.